À l’inconnue matièreOù se roulent nos âmesComme de petits animaux Dans la poussière,Dans l’obscurité du silence.
À la cassure du néantOù la déchirure du mondeTrouve sa fin brutalementPar le regard d’un êtreQui vous a tout renduDe ce que vous aviez caché.
À l’absence vitaleCréant les hommesEn forme de creuxComme des puits de lumièreOù s’abreuve le tempsOù nagent les étoiles.
À la force des prièresQui n’amènent rienQue leurs immédiates présences ;Grâce déposée en levainAu plus tendre du vivantAu plus certain de l’amour.